INTRODUCTION
Le 20 août 2021, le Dr Robert Young a publié les conclusions de son équipe après avoir analysé les quatre « vaccins » COVID-19 dominants à l’aide de la microscopie à contraste de phase, de la microscopie électronique à transmission et à balayage et de la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie. Leurs résultats confirment et approfondissent les investigations antérieures menées par le Dr Pablo Campra (Université d’Almeria, Espagne), le Dr Juan F. Gaston Ananos (Hôpital de Barbastro, Espagne), ainsi que les récents rapports de pathologie d’autopsies de décédés vaccinés qui ont été effectués par le Prof. Dr. Arne Burkhardt, le Prof. Dr. Walter Lang et le Prof. Dr. Peter Schirmacher (Allemagne & Autriche).
Beaucoup de ces substances ont été observées comme étant liées à l’oxyde de graphène et aux nanoparticules métalliques. Les nanoparticules GO sont nécrotiques, capables de passer dans ou à travers des barrières physiologiques, y compris (mais sans s’y limiter) la barrière hémato-air, la barrière hémato-testiculaire, la barrière hémato-encéphalique et la barrière hémato-placentaire. Sur une période de plusieurs mois après l’injection intramusculaire, jusqu’à 75 % de la « plate-forme de distribution » des nanoparticules GO et la plupart des substances énumérées ci-dessous sont largement transportées dans le corps des mammifères, dans le sang, le cerveau et d’autres organes. Certains des nombreux effets toxiques de l’oxyde de graphène sont la myocardite et la coagulation du sang. La contamination des vaccins semble être si courante qu’on pourrait croire qu’elle est délibérée.
Source : mirastnews