Le syndicat de l’Unef et la fédération de la Fage ont chiffré le coût de la vie étudiante. Les deux admettent une hausse de 3%.
En raison de la crise sanitaire et des nouvelles mesures qu’elle impose, la rentrée universitaire 2020 se déroulera dans des conditions inédites. Désormais, il faudra, dans les couloirs et dans les classes, maintenir une distanciation sociale, veiller aux gestes barrière et enfin, porter un masque. Or, cela représente un budget dont les étudiants, notamment les plus fragilisés, se seraient bien passés.
Le syndicat de l’Unef et la fédération de la Fage ont chiffré le coût de la vie étudiante. Les deux admettent une hausse de 3%.
En raison de la crise sanitaire et des nouvelles mesures qu’elle impose, la rentrée universitaire 2020 se déroulera dans des conditions inédites. Désormais, il faudra, dans les couloirs et dans les classes, maintenir une distanciation sociale, veiller aux gestes barrière et enfin, porter un masque. Or, cela représente un budget dont les étudiants, notamment les plus fragilisés, se seraient bien passés.
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Selon un rapport du syndicat de l’Unef, l’obligation du port du masque «crée de nouvelles dépenses»: +230 euros par an. Même constat du côté de la Fage qui publie son 18e baromètre évaluant le coût moyen de la rentrée 2020, dévoilé par Le Parisien . Selon la fédération étudiante, ce dernier s’élève en moyenne à 2 361 euros, soit 76 euros de plus qu’en 2019, «pour un étudiant de 20 ans licence non boursier et n’habitant pas chez ses parents», peut-on lire.
Source : etudiant.lefigaro.fr