La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) approuve et apprécie à sa juste valeur la décision de suppression des frais Coges dans tous les établissements d’enseignement préscolaire, primaire et secondaire, à compter du 1er janvier 2021. Laquelle annonce a été faite par le Chef de l’État Alassane Ouattara, le 14 décembre 2020, lors de son discours d’investiture. La décision a été largement saluée par les acteurs de la société civile, notamment les parents d’élèves.
Dans son adresse de fin d’année à l’intention de la communauté estudiantine et scolaire, Saint-Clair Allah, secrétaire général de la Fesci, a rendu un hommage au Chef de l’État pour cette décision. « Nous rendons un hommage appuyé au Président de la République, Alassane Ouattara, pour cette décision historique ainsi qu’au Premier ministre, Hamed Bakayoko, pour avoir œuvré à sa facilitation », peut-on lire dans cette déclaration datée du 31 décembre 2020, dont nous avons reçu copie.
La note rappelle que la demande de suppression desdits frais a constitué l’une des revendications majeures de la Fesci durant l’année 2020. Et a même conduit à une grève à la date du 19 octobre 2020.
En outre, le secrétaire général de la Fesci n’a pas manqué de rappeler que l’année écoulée a été particulièrement difficile. Année qui a durement éprouvé le système éducatif national. A l’image du coronavirus qui a menacé l’année scolaire et académique.
Aussi la Fesci a-t-elle salué la capacité de résilience et d’adaptation du gouvernement. Qui a su, selon Saint-Clair Allah, « prendre, à partir du 16 mars 2020, des mesures nécessaires pour lutter contre la propagation de la pandémie et créer les conditions de l’achèvement de l’année scolaire ».
Pour l’année 2021 qui s’ouvre, le premier responsable de la Fesci a réitéré son engagement à poursuivre ses efforts en vue de l’éradication de la violence sous toutes ses formes en milieu scolaire et universitaire.
