Le préfet de Daoukro, Mme Kablan Aka Julie, a exprimé jeudi 28 octobre 2021, sa satisfaction pour le déroulement des travaux des Etats généraux de l’Education nationale et de l’Alphabétisation (EGENA) dans le département.
« Je voudrais remercier le ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation pour la tenue de ces assises. Après ces rencontres de travail, il y aura l’EGENA au niveau régional pour statuer sur les recommandations pour un avenir radieux de l’école en Côte d’Ivoire », a fait savoir Mme Kablan, à l’ouverture des travaux au Lycée professionnel de Daoukro en présence des acteurs du système éducatif.
Pour chef de l’antenne pédagogique et de la formation continue de Daoukro, Sanogo Clothiory Siaka, les préparatifs des états généraux de l’Education à Daoukro visent à amener les acteurs du secteur et la population à faire le diagnostic de l’Ecole, mais surtout de proposer des solutions pour l’améliorer, en faisant de l’école une affaire de tous et plus performante.
Les participants plancheront sur sept thématiques à savoir, politique éducative et cadre légal, Inclusion, équité et genre, qualité des enseignements, apprentissages Pertinence, efficacité interne et externe, gestion des flux des passerelles et planification des situations d’urgence et de crises, Société apprenante, apprentissage tout au long de la vie, Gouvernance et gestion, dialogue social, mécanisme de financement, y compris Digitalisation du système éducatif et enjeux et perspectives.
En dehors de ces états généraux, une plateforme est ouverte pour permettre à la population de faire des propositions. Les assises des EGENA au niveau régional sont prévues pour les 2 et 3 novembre 2021 au Lycée professionnel de Daoukro.
Lancés le 19 juillet 2021 à Abidjan par le Premier ministre, Achi Patrick, les Etats généraux de l’Education et de l’Alphabétisation visent à porter un regard diagnostic sur le système éducatif actuel et la politique d’Alphabétisation au regard des lacunes existantes. Elle vise aussi à recueillir des propositions innovantes et consensuelles, pour reconstruire une école de qualité et d’établir les conditions d’une confiance en l’Ecole ivoirienne tant aux niveaux national qu’international.
Source : AIP