Des experts américains doivent se réunir mercredi pour examiner quelque 300 cas d’inflammations au niveau du cœur (myocardites et péricardites) déclenchées après l’injection des vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna, notamment chez des adolescents ou de jeunes adultes.
«Ces cas sont rares, et la vaste majorité (d’entre eux) ont été résolus grâce à du repos et des soins», avait rassuré jeudi la directrice des Centres américains de lutte et de prévention des maladies. De tels cas ont d’abord été signalés en Israël, où la vaccination a été plus rapide que dans la majorité des pays. Le ministère de la Santé israélien a soulevé fin mai «un possible lien» entre le vaccin Pfizer et des cas de myocardite chez de jeunes hommes, tout en précisant que 95% étaient bénins.
Source : lessentiel.lu